Il y a eu une mode pendant un bout d’aller en voyage, prendre des photos de la pollution dans les pays défavorisés et publier le tout sur les réseaux pour essayer de conscientiser et de faire en sorte que les gens changent leurs habitudes. Ç’a marché un peu au niveau individuel, mais il y avait encore beaucoup trop de gens avec cette mentalité de «c’est pas mes petites actions à moi qui vont faire la différence». De toute façon, les plus grandes forces mondiales étaient en général toutes réparties sur les territoires les moins affectés par les changements climatiques à ce moment là. Sauf que rendu à un certain moment, leurs territoires aussi ont commencés à être affectés de façon majeure. Non seulement par la crise migratoire venant des pays où les influences allaient pour leurs vidéos, mais aussi par des variations de température extrêmes : des hivers de plus en plus froids et des étés où même être en Hoaka Swimwear à la journée longue comme Elizabeth Rioux aidait pas à avoir moins chaud.
Et c’est là que la panique a commencée. Tout s’est fait vraiment rapidement par contre (ça faisait surtout pas 20-30 ans que des écologistes et autres individus intelligents avaient fait des plans et des propositions de choses à changer, modifier, implanter, éradiquer, sauver, etc hen…), il restait seulement à choisir les meilleures idées, les implantées. Ça a mené a où nous en sommes actuellement, le climat est encore très variable, mais ça commence à se tempérer un peu, on est beaucoup moins qu’avant alors c’est plus facile de s’organiser. Plus dur d’avoir des «followers» aussi, mais il y a même plus de réseaux sociaux. La collectivité se vie en direct dans la réalité. Y a-t-il vraiment une réalité précise par contre? Même dans ce monde changé, il n’y a personne qui vit la même chose qu’une autre, mais le sentiment d’individualisme est beaucoup moindre qu’avant la transition. Peut-être justement que l’absence de réseaux sociaux empêche cette isolation collective. À moins d’exercer tous les rôles nécessaire pour combler ses besoins de bases (j’ai bien dis rôles et non métiers), il est certain qu’une personne devra entrer en contact avec les autres pour obtenir les ressources nécessaires. En 2019, il était totalement possible de subvenir à tous ses besoins sans même parler à une seule personne.
J’admire par contre l’engouement qu’avaient réussi à créer les influenceurs… De nos jours rien ni personne ne sort vraiment du lot où n’est considéré valable d’être idolâtrer. De toute façon, lorsque nous vivons dans le bonheur, il n’est pas nécessaire d’essayer de le vivre à travers quelqu’un d’autre puisqu’on le vis déjà soi-même. Ce devait être une société bien malheureuse dans laquelle vivaient nos ancêtres.