Jusqu’où la technologie et le corps humain peuvent-ils s’imbriquer, tout en restant éthique?
Un sujet récurrent en médecine est l’éthique. Il ne semble toutefois pas toujours être en tête dans le domaine de la technologie. Dans une société utopique technologiquement avancée, où il serait possible d’imprimer des organes ou autres tissus nécessaires pour des greffes etc., jusqu’à quel point est-ce que ces technologies pourraient être utilisée, répandues, exploitée pour une même personne. Par exemple, une personne ne prends pas soin de son corps, est alcoolique et très peu active et a déjà eu une greffe d’organe suite aux complications en lien avec l’alcoolisme. Cette personne n’a toutefois pas ajuster son mode de vie suite à l’opération. Devrait-elle avoir droit à une autre greffe? D’un côté, celle-ci est facilement accessible, mais de l’autre côté, il ne faut pas prendre pour acquis le droit et l’accès à cette science?
Question alternative : Dans une société utopique égalitaire, les standards de beauté ont-ils leur place?
Deuxième question alternative : Dans une société utopique égalitaire, la performance comme contribution à la productivité et l’utilitarisme basé sur ce qui est mesurable et calculable, ont-ils encore leur place ? Et si on répond non à cette question , a-t-on encore besoin d’autant de technologie ?