Peu importe la personne que tu es, la recherche du bonheur est quelque chose qu’on en parle, mais qui n’est pas nécessairement unanime. La question de l’individu et de la collectivité revient souvent en conflit avec les intérêts de chacun et rentre en conflit avec notre liberté de vivre dans une utopie qui est censé d’être une réalité désirable et enviable à nos yeux. Seulement, est-ce possible d’être libre dans une utopie lorsque dans la réalité on est né dans une liberté qui est plutôt restrictive et influencé par une collectivité?
Nous commençons par ce que nous apprécions déjà. Des changements qu’on désire imposer, on les impose! Le Biomimétisme et l’artificielle, la liberté de pensé et artistique, un environnement naturelle et progressif, une paix intérieur et la peur de vivre les conséquences. « Mon petit jardin secret » se reflète sur l’individu et des inventions crées par des changements environnementaux qui est en parallèle avec la situation de notre réalité. « La liberté en jeu » relève l’éducation, la justice et la survie de notre propre liberté. Une recherche d’équilibre et de protection de l’individu de la collectivité est mise en avant. Ensuite, un bond vers le futur nous impose pour exploiter le corps, la mode et l’individu qui commence à s’encrer dans son bonheur. « Le progrès du changement » donne espoir pour une population plus réfléchit, même si elle reste humaine, et pour un environnement survivable et plus vivante qu’aujourd’hui. Ensuite, peu de temps après, ce monde est incité à mettre une fin tragique et violente. « une incendie « accidentelle » » résume le questionnement sur la cohabitation de la liberté collective et de la liberté individuelle ainsi que le bonheur satisfait du personnage. Bref, une fin du monde quoi…