Un premier brouillon…

Université de [X]

Écosociété moderne :
analyse des influences éco-anarchistes des derniers siècles sur la société actuelle et sur la mouvance écologiste du siècle
par Aloys Müller

Département de philosophie
Faculté des Sciences et du Progrès

Mémoire présenté en vue de l’obtention du grade de Maîtrise en philosophie

Avril 2X21

INTRODUCTION

Nous sommes les produits de la ruine des sociétés du passés et nous serons les ruines sur lesquelles les sociétés futures seront bâties. [zu snobistisch?] [überprüfen die Name auf Französisch] est née d’une volonté de réparer nos erreurs du passé, mais aussi d’une ténacité innée au genre humain. La balance écologique pour laquelle nos [Vorfahren?] se sont durement battus n’a pu être atteinte que grâce à une suite de changements tous plus radicaux les uns que les autres.

Il a fallut plus d’un siècle au genre humain pour prendre conscience de sa dépendance envers la nature, et ce, peu importe ce qu’il pu en penser, et il lui fallut encore plus de temps pour parvenir à mettre un frein à la course vers la mort prématurée du monde qu’il avait enclenchée. C’est grâce à la théorie écologique actuelle et à l’écosociété dans laquelle nous évoluons que notre espèce à su survivre au XXIe siècle et à tout ce qui a suivit. L’une comme l’autre sont en quelque sorte les filles bâtardes des différentes mouvances écologistes du passé et de ce qui a été appris des échecs des sociétés nous ayant précédés. La vaste majorité de la population actuelle semble convaincue que notre relation avec l’environnement et l’écologie a atteint le plus au degré de symbiose qu’elle ne pourra jamais atteindre et l’harmonie totale, mais il reste, encore de nos jours, des sceptiques qui croient pouvoir (et même devoir!) se rendre plus loin encore, et d’autres qui pensent que nous sommes d’hors et déjà allés trop loin. Ce mémoire de maîtrise pour objectif de Dans ce mémoire de maîtrise je Bon sang rien de tout ça n’a de sens, se battre pour conserver ce que l’on a n’est utile que si on en souhaite plus et il ne reste plus rien d’autre à souhaiter quand tout s’est déjà effondré. Ce que ceux avant nous ont saccagé n’a jamais pu être entièrement récupéré et nous sommes pris à tenter de tout ramener alors que l’Essence même des choses nous échappe. La balance écologique que l’on a toujours voulue existe peut-être, mais à quel prix? L’ère est au changement, nous pouvons tous le ressentir au fond de nous, peut-être parce que nous sommes désormais trop liés à notre planète, mais je suis incapable de dire si ce sera un bon ou un mauvais changement et si nous ne risquons pas de perdre ce que nous avons su sauver. J’ai un jour entendu que l’utopie n’était rien d’autre qu’une dystopie maquillée de faux bonheur et de bons sentiments, si j’en ai autrefois douté, je n’en suis plus aussi certain. [umschrieben später]