TRANSITERRE

Oublier qui nous sommes

Sommes-nous des obsédé du progrès?

Nous voilà dans le futur
La planète est guéri
La terre est cultivable
L’oxygène est respirable

Grâce à tous nos efforts
Mère nature a retrouvé ses racines
Elle garde fortement les cités de ce monde
Ce petit monde utopien

Seulement
Notre obsession au progrès s’est grandi
à une si grande vitesse que nous perdons les sens de la vie organique de l’homme
Des électroménagers autonomes
Des robots intelligents qui travaillent à notre place
Tous les désirs de la cité entre des files
Jusqu’à même devenir une source d’énergie renouvelable

Le progrès technologique hante les rêveurs et détruit de ce qui était autrefois
Il me force à me réfugier à la forêt des souvenirs
Là où je m’inspire de notre histoire antécédente

Quand je vois les gens passés
Je ne vois plus le corps humain
Des mâchoires avec une lueur grisâtre
Des bras fait de diamant
Des jambes fait en or

Les gens croient que cela leur mettent en valeur
Mais ils perdent leur humanité

Je n’envie pas de cette mode qui reflète de plus en plus la société
Le désir de se démarquer des autres

Je me suis réfugiée dans la campagne
C’est ainsi que je vis depuis mon exil
Je ne pouvais pas éliminer de ce qui faisait parti de moi
Cet art qui me permet de bâtir mon monde

J’ai connu un homme et je vis avec lui aujourdhui
Grâce à notre union
Je porte notre enfant
Une expérience si naturelle et si organique
Entendre les battements de cœur d’un être qui ne vit pas dans ce monde
Dans ce monde qui change constamment

Ma maison dans la campagne
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