Écologie : L’un des problèmes majeurs de l’écologie est qu’elle est réduite au rôle de l’individu. En passant par les voitures électriques (ceci est discutable selon le lieu de l’utilisation de ce véhicule), le recyclage, le compostage, consommation de biens « responsables » et etc. Ceci pose aussi une problématique à l’identification de la solution, celle-ci doit être plus que sociale qu’individualisée et aussi localiser (par des petits potagers et ainsi de suite). Malgré que ces gestes font partis du but, il y a une nécessité de modifier le rapport entre l’humain et son entourage. À moins que nous soyons prêts à changer complètement l’environnement grâce aux technologies pour garder certains acquis, il y a la nécessité de changer nos habitudes de vie.
Économie (social) : L’économie se voit modifiée grâce à l’innovation technologique (encore), on peut voir de plus en plus de robotisation qui se fait remplacer le peu de main d’œuvre humaine qui restait à remplacer. Par exemples, Hands Free Hectare est une ferme qui se fait contrôler par des drones et d’autres machineries. Aucun humain n’a mis les pieds dans cette ferme là depuis deux ans.
Il ne faut pas oublier que la possibilité qu’offrent les intelligences artificielle (incluant la robotique) est assez flexible. Il y a des modèles de Deep Mind (propriété de Google) qui ont pour but d’analyser un sujet précis et l’adapter pour une situation. Par exemples, Next Rembrandt analyse pixels par pixels les peintures de, étrangement, Rembrandt a pour but de reproduire sa « dernière » peinture qui serait fait par l’I.A. (je vous suggère fortement d’aller voir le site). Un autre est organisé pour analyser les patterns que certaines maladies ont sur tout le corps. De cette manière il serait possible d’y voir des probabilités d’un problème avant même qu’un ne le perçoit.
Tout de même ceci présente quand même de lourd défi, surtout s’il le monde utopique a quand même affaire avec une économie de marché. Il lui faut une lourde régularisation pour être sûr de son impact.
L’idéologie: Ce qu’il y a entendre d’idéologie est simplement comment la vie du jour au jour est perçue : comment peut-elle changer et c’est qui qui doit la changer pour que le changement soit permanent. Seulement pour montrer un exemple de l’exercice nécessaire : La langue est une activité communale, dans le sens où une langue est seulement accepté s’il y en le besoin de communiquer. Celle-ci n’est pas établie dur comme le roc puisque les personnes qui parlent celle-ci ont la capacité de l’alterner selon son besoin. S’il y a une nouvelle situation, la langue va évoluer pour décrire cette situation pour simplifier le langage. Mais, cette modification doit être acceptée socialement pour changer la logique de cette langue. On est sujet de restriction qu’on s’impose interpersonnelement, si je serais (sic) en voit d’écrire ainsi, non seulement j’aurais des messages pour modifier ce passage pour faire conforme à la logique de la langue, mais, aussi, il aurait un moment de jugement de faire cette erreur.
Par contre, la religion a un encadrement préétabli qui se veut de restrictif dans sa tangibilité. Il y a, contrairement à la langue, une institution qui veille à son idéologie. Par exemple, avec un peu d’ironie, lorsque la crise de 2008 a affecté le Royaume-Uni, la Reine Élizabeth II écrit une lettre à l’institution d’économie à Londres pour comprendre le manque de prédiction de leur part. Les économistes ont simplement répondus qu’ils étaient tellement certains par leurs formules économiques que c’était un courant naturel de l’économie (Voir Global Minotaur de Yanis Varoufakis, il donne une meilleur perception de cette situation dans ce livre). Cette réponse est parfaite pour voir l’effet qu’une institution peut avoir même auprès des professionnels eux-mêmes, c’est même plutôt eux qui ont les plus grand croyant de leur théorie. Modifier cette théorie a été seulement accepter, car une crise faisait face aux formules.
Alors, ce contraste entre une conception sociale peut être plus facilement changeable selon qui est l’acteur de ce changement, les personnes qui l’utilisent comme la langue ou une institution qui l’impose (comme l’économie). Cette petite différence est assez importante quand il vient d’imaginer l’impact des perturbations voulues dans notre Utopie.
